Buenos Aires: la porte de l´Amérique du Sud
Bonjour tout le monde,
Comme je l´avais plus ou moins prévu, je vais tenter parler de mon voyage grace à un blog. Mais d´avance je préviens que je le fais un peu " à l´arrach" d´abord parce aue ca prend du temps et que jene veux pas dépenser des moitié de journée pour rédiger des articles (et parce que des gens font toujours la queue pour accéder à l´ordi), ensuite parce que je n´arrive pas à écrire avec ces put.... de claviers.
Après une semaine passée à Buenos Aires, j´ai suffisamment de choses à dire pour écrire rapidement et facilement un article. 
C´est une gigantesque ville qui ne s´arrette jamais de fourmiller (sauf peu-etre le samedi après midi où on dirait que tout le monde fait la sieste. En gros les rues sont grandes bondées de voitures et de bus. Les avenues sont gigantesques. Tour crée un bruit pas possible et une possibler et une polluation qui m´a fait mal aux poumons et aux yeux les premiers jours.
Le réseau de bus très fourni permet d´aller partout dans la ville, et on peut utiliser le métro également (pas toujours pratique car c´est un réseau en étoile avec seulement quatre branche pratique pour aller au centre mais pas pour le reste.
C´est une grosse ville donc on y trouve beaucoup de gens très riches, parce qu´il y a beaucoup d´argent, et beaucoup de pauvre, parce qu´il y a beaucoup d´argent... Seulement ils n´y ont pas accès, mais essayent.
C´est assez étonnnant car malgrè une organisation de la ville très quadrillée, les immeubles semblent avoir pousser sans cohérence dans de nombreuses parties de la ville: Et c est pas désagréable
(Un étrange immeuble en forme de demi cercle et aui semble un peu perdu)
Le microcentre de la ville est située sur la plaza de Mayo ( là où tout les bus mènent). C´est blindé la semaine avec les gens qui travaillent dans le centre, des manifestations quotidiennes (jamais les mêmes).
La banlieue a l´air d´être super grande et je n´ai pas vraiment eu l´occasion de la voir, si ce n´est à Tigre où en arrivant de l´aéroport).
J´aimerai bien un peu théoriser sur la ville, mais ca va être ennuyeux et de toutes facons (désolé, il n´y a pas de C cédille. Vous pouvez toujours vous imaginer qu´avec ma moustache, je ne prononce plus les cédilles ).
Quelques photos de différents quartier pour donner une image de la ville plus proche de la réalité que celle des clichés un peu trop clichés.
Ici Belgrano, enfin juste une partie, qui ne consiste pas seulement en cette jolie église. C´est un quartier riche, comme beaucoup á Buenos Aires. On y trouve beaucoup de grands appartements. Se mélengent les gros immeubles et les petites maisons. Et énormement d´endroit pour sortir. Très très vivant le soir et le week-end dans le coin des bars ( et non des barres).
Ici le quartier de San Telmo, juste à côté de mon auberge. Un des quartiers historiques de la ville, situé entre la Boca et le Microcentro. Dans un style très européen il a été abandonn´par les riches au moment des épidemies de fièvres jaunes. Aujourd´hui c ´est un quartier plutôt populaire où les touristes nombreux se mêlent aux moultes enseignes des entiquaires du coin.
Voilà la rue où se situe mon auberge. Pas jolie, mais on y est très bien. Juste derrière se trouve une autoroute surplombant la ville. Et dorment ce sous ce pont plusieurs familles qui travaillent la journée en fouillant dans les poubelles pour trier les déchets. Ceux qui connaissent la ville que tout plein de gens font ca ici. Je ne sais pas comment ils obtiennent de l´argent de ce travail, ni qui les paye, mais en tout cas on ne peut pas vraiment appeller ca un boulot....
Evidemment le quartier de la Boca est incontournable. Quartier historique des immigrants, c´est devenu aujourd´hui à la fois une sorte de ghetto, si on peut appeller ca comme ca, et le coin probablement le plus touristique de la ville. En gros, trois ou quatre rues ont gardé leur aspect typique et forment un musée à ciel ouvert. Ces deux ou trois rues, dont notamment le caminito, sont bondées de touristes, de commercants, de danseurs de tango qui jouent les argentins de service (mais qui dansent réellement bien). Et autour de ca, derrière une sorte de cordon gardé par la police en journée, les habitants du quartier dont certains apparamment n´hésite pas à attaquer les touristes avec violence. Je ne comprend pas vraiment cette violence, si il s´agit de crime organisé, un endroit où les gens sont plus pauvres que les autres, un endroit un peu à part où les petits délits sont multiples ce qui aurait pour résultat de créer une sorte de zone de non droit. Ou peut-ètre simplement des gens aussi pauvres que dans bien des parties de la ville, mais dont l´histoire de leur confrontation avec les touristes (appareils photos en mains)a peut-ètre consolider dans une tendance à prendre, parfois avec violence, ce que eux n´ont pas.
Voilà une photo du Caminito. L´endroit est tellement petit aue tout le monde a les mêmes trois ou quatre photos. Vous pouvez vérifier sur google image, tapez "la Boca" et vous retrouverez surement cette même photo.
Pas de photos des restes des parties puisque c´est exactement la chose
à ne pas faire pour ne pas se faire braquer.
Depuis mon auberge, je suis aller aller à pied à la Boca en passant par le stade de Boca Junior. Club suffisament connu pour que je n´en parle pas. Il fallait pour ca que je prenne des rues bien précises qu´on m´a indiqué à l´auberge. Et pour ca, on se retrouve bloqué entre le besoin d´utiliser son guide ou une carte de la ville pour ne pas se tromper, et le fait de ne pas sortir son guide et sa carte pour ne pas montrer qu´on est un touriste égaré.
TIGRE
Changement de décors. Nous voici à Tigre, une ville de la banlieue riche de Buenos Aires. Le principal changement dont vous ne pouvez pas vous apercevoir avec cette simple photo, c´est le bruit.:: Enfin l´absence de bruit, plutôt.
Bs As est une ville extrèmement bruillante. On s´y fait! Mais on se rappelle que le silence existe quand on arrive à Tigre et combien il peut être agréable.
Tigre, c´est une "ville", enfin pas vraiment, où les Porteños ont construit des maisons sur les multiples îles que forment le delta du Rio Paranà. On s´y déplace donc en bateau. Pas de voiture, hormis sur une petite partie de la ville.
Voici le type de maisons que lón peut croiser là bas. Très bien tenue, avec jardin luxuriant, et chacun a son chien ainsi que son ponton personnel pour son bateau privé ou pour descendre du bateau collectif aui sert de bus.
Voilà un petit aperçu de la ville (ça y est, j´ai trouvé le ç). Difficile d´en dire plus comme ça. 12 millions d´habitants et je ne connais que le centre et Tigre. Un des receptionnistes de l´auberge s´avère être sociologue et travaille en particulier sur la ville. Il m´a donné le contact d´un urbaniste qui travaille sur Buenos Aires. Mais je dois partir vendredi alors je n´aurai pas dorcément le temps d´en profiter. Peut-être à mon retour.
Avant de finir, encore quelques photos, plus "clichées" cette fois-ci. Et je ferai peut-être un deuxième article sur Buenos Aires, ville que je vais bientôt quitter avec regret, mais qui n´est probablement qu´une introcuction sur ce continent.
Sous le portrait, il y a écrit "asesino". Ca ne veut pas dire assissiné, mais assassin...
Une parrila. C´est un gros barbecue de viande de boeuf. Toutes les pièces de l´animal sont à peu près utilisées. Là ce ce qu´on voit, c´est de la viande pour seulement deux personnes!!!
La voiture est reine ici. Mieux vaut bien regarder avant de tenter de traverser une route. Pas compliqué de se faire écraser sinon.
